aux lèvres de l’estuaire l’écume écrue glisse
sur le sable miroir et sous l‘effet d’un vent favorable,
s’accroche à un végétal échoué par les remous des rouleaux,
tant ça brasse, tant ça enrichit cette frange moussue
qui monte à mi-mollets du marcheur aux pieds nus …
Beautiful post
RépondreSupprimerMerci
SupprimerPlease read my post
RépondreSupprimerTouching and beautiful!
RépondreSupprimerMerci
SupprimerCe marcheur de l'estran a tout pour me plaire.
RépondreSupprimerIl contemple le monde à travers ses pieds nus et la mer infinie.
C'est beau.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
😊
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