Il y a soixante ans, la mer venait claquer ses vagues sur les défenses maçonnées au pied du phare de Saint-Nicolas. Aujourd'hui, pour tremper ses pinceaux dans l'océan, il faut crapahuter entre joncs, helichrysum et mares, pendant six cents mètres.
Au plaisir.
12 mars 2025
Un buen trabajo con fotos muy interesantes de ver. El cambio climático está por todas partes.
RépondreSupprimerIndubitablement !!
SupprimerThat is awesome place!
RépondreSupprimerSand vs sea
SupprimerNice place to walk!
RépondreSupprimerBut not easy, the sand is soft.
SupprimerElle va revenir au pied du phare ta mère !
RépondreSupprimerMusoir/poulier, ce qui disparaît d'un côté apparaît de l'autre ...
Supprimerelle reviendra, c'est fort probable ; tu me raconteras ... 😎